Trop souvent, quand on parle de la jeunesse africaine, on la présente comme un défi.
Une masse difficile à encadrer, à orienter, à stabiliser…
Et pourtant.
Ce que je vois, ce sont des esprits vifs, des mains qui veulent créer, des voix qui veulent contribuer.
Ce que je rencontre, ce sont des jeunes qui rêvent d’un avenir différent, pas seulement pour eux, mais pour leur pays.
La jeunesse n’a pas besoin qu’on parle à sa place. Elle a besoin qu’on l’écoute, qu’on l’équipe, et qu’on lui fasse confiance.
-Former pour demain.
- Encadrer sans étouffer.
- Accompagner sans imposer.
- Responsabiliser sans mépriser.
C’est une urgence. Mais surtout, c’est un choix politique.
Nous avons les talents. Nous avons les idées.
Ce qu’il faut, c’est le courage de construire une gouvernance qui parie vraiment sur ses jeunes.
Parce qu’on ne prépare pas l’avenir sans eux.